Je ne l’ai d’abord vu que de face… Il était plutôt beau gosse, drôle, sympa mais il restait quelconque. Puis, je l’ai vu de dos. Là tout a changé.
J’avais toujours aimé les fesses des garçons mais celles-là, celles-là étaient en train de m’hypnotiser. La lutte était dure entre la tentation de ne pas décrocher mon regard de son arrière-train et les règles de bienséance que je me devais d’adopter chez nos amis communs. Je glissais une œillade dès que le moment se présentait pour me repaître de la perfection que ce derrière représentait à mes yeux. Fort heureusement, nous n’étions que 2 fumeurs, je sautais sur l’occasion et le laissait me précéder tandis que nous nous dirigions vers l’extérieur.
Le jeune homme ne portait pas de ces pantalons serrés qui sublime normalement tous les postérieurs, même peu gracieux. Il portait une sorte de baggy un peu large mais l’informité du vêtement n’arrivait pas à cacher les formes rebondies du fruit de mon désir. Sa croupe partait bien cambrée pour se rebondir délicatement.
De ses hanches se dégageait le dessin de 2 belles lunes que j’imaginais claires, à l’image du reste de sa peau. Sans être excessivement dodu, ce fessier était charnu, musclé, plantureux, loin de ses derrières certes musclés mais si plats, fades et peu dignes d’un quelconque intérêt. J’imaginais déjà le mouvement de ma main sur un tel terrain de jeux.
Et au moment où cette idée se forma dans ma tête, je pris peur… peur que ces fesses m’échappent. Il ne m’était jamais arrivé de tomber sur un tel chef d’œuvre et encore moins de pouvoir l’approcher, le toucher, le caresser, l’observer des heures durant tout à loisir. Ce jeune homme n’était plus du tout quelconque, il me fallait à tout prix le séduire, le charmer, de façon à accéder à son arrière-train. J’étais tellement fascinée par ses attributs, que je ne pouvais même plus les nommer cul, trop vulgaire pour cet enchantement.
Je n’ai pas pu l’approcher ce soir-là mais nous nous revîmes. J’apprenais la patience, m’abreuvais des apparitions de ce fessier dès que l’occasion se présentait et fantasmais de plus belle sur l’instant où je pourrais finalement y poser la main. Après plusieurs rendez-vous, je n’en pouvais plus, je décidais de vaincre nos timidités respectives et je l’embrassais. Il se laissa faire et je n’attendais plus pour enfin poser ma main dans le creux de ses reins et la descendre lentement vers la croupe tant convoitée.
Je prenais mon temps, voulant garder un souvenir précis de cette première fois. Je le laissais guider le reste de la danse tant j’étais occupée à caresser les courbes du bas de son dos. La sensation était fabuleuse, comme dans les meilleurs de mes fantasmes. Je m’enhardis à y poser les 2 mains, serrant à peine les doigts et le rapprochant de moi, le plaquant contre mon corps. Agripper un homme par les fesses m’avait toujours rendue folle mais ces fesses-là ! C’était encore plus délicieux. Mon cœur s’emballait, j’avais des bouffées de chaleur et mon souffle se faisait de plus en plus court. Je m’enhardis de nouveau et trouvai le chemin vers la peau nue de son dos. Il frissonna, je savais que j’avais gagné, ces fesses-là étaient à moi pour ce soir, entièrement, pures et nues à mes yeux !
Nous sommes allés chez lui et j’y passais la plus belle nuit de ma vie. De nos activités nocturnes je n’ai que peu de souvenirs. J’imagine que c’était bien. De ses fesses, par contre, mon souvenir est aussi net que si je les avais eues sous la main hier soir. C’était un vrai rêve, comme si chaque nouvelle découverte, chaque nouveau pan de ce secret fessier dévoilé était aussi prodigieux que le précédent, des courbes sensationnelles au regard et au toucher. Mais ses fesses étaient maintenant dégagées de ce pantalon et ainsi sublimées dans un boxer, je perdais complètement la tête. Le boxer est aussi tombé bien vite pour laisser apparaître ses fesses à l’air libre.
Ainsi affranchies de tout ce superflu, elles n’étaient que plus belles et paraissaient aussi douces que du lait. Je ne pouvais attendre plus longtemps et allais de ce pas caresser ces rondeurs alléchantes. Hmmm… quel souvenir… aussi douces que la peau d’un bébé, délicatement parfumées de son odeur à lui, un peu sucrée, un peu musquée, j’étais complètement enivrée. Mon cœur battait la chamade quand je posais ma main la première fois sur ce derrière. Je me demande s’il ne s’est pas arrêté quand mes lèvres se sont posées sur le galbe de sa cambrure tant il battait fort dans ma poitrine. Je sais qu’il a pris un peu peur de ma persévérance pour m’activer sur ses 2 fesses mais il y prenait aussi du plaisir donc il arrêta bien vite de se formaliser.
Quand je me suis réveillée le lendemain matin, il me tournait le dos, à la fenêtre, en train de fumer une cigarette. J’observais le reflet du soleil sur sa croupe nue quand il m’assena le coup de grâce de ces quelques mots « je crois que ce sont tes fesses qui me manqueront le plus ». Il n’imaginait pas à quel point les siennes me manqueraient. C’est à ce moment-là que je réalisais que je ne le reverrai plus. Alors je me grisais de ces derniers instants à contempler cette merveille. Mais si je ferme les yeux, je les revois ces fesses qui m’ont tant enflammées, je les revois comme à ce dernier instant dans les rayons d’un soleil naissant. Et je rêve tous les jours d’en retrouver de si captivantes. En attendant, je me gorge des fessiers de passage, avec tout autant d’avidité mais bien moins de passion.
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