Mon père, comme tant d’autres anglais à cette époque, a écouté cette radio clandestine : Radio Rock !
Nous sommes en 1966,
A l’apogée du
Rock’N’Roll Britannique.
Pourtant,
La BBC diffuse moins de 45 minutes
De Pop par jour.
Ainsi débute Good morning England (ou The boat that rocked en anglais), l’histoire d’une des radios pirate écoutées par 25 millions d’Anglais (1 britannique sur 2), de tous les âges et de tous les milieux sociaux. Une radio exilée sur un bateau. Une radio conspuée par le gouvernement britannique. Une radio qui fera vibrer des gens de jour comme de nuit. Et c’est l’histoire de cette radio qui nous est contée dans ce film. De cette radio et de son équipage. Amoureux de la musique Rock et pop des années 60, soyez prêt à en prendre pleins les oreilles !
Pour planter notre histoire, quoi de mieux que de faire venir un jeune puceau qui vient de se faire virer de son bahut pour avoir fumé et qui a la joie d’avoir pour parrain le… directeur (?) de Radio Rock. Il est certain que l’univers de la musique dans les années 60 n’impliquait en rien… Attendez ! Sexe, drogues et Rock’N’Roll, ça vous dit rien ? Bienvenus dans les années 60. Comme le dira si bien Quentin (Bill Nighy) C’est une monumentale bourde.
Bref, notre héros si l’on peut dire rencontrera alors toute l’équipe ou presque, des animateurs radio, chacun avec sa personnalité et sa spécialité (même Bob qui a sa tranche horaire en plein milieu de la nuit). Il y a Le Comte (Philip Seymour Hoffman), joyeux trouble fête américain à la langue bien pendue ; Angus (Rhys Darby) ; Simon le simple (Chris O’Dowd) qui attaque avec l’émission du matin ; Dave (Nick Frost) ; le cerveau qui ne porte pas bien son nom; Mark, l’homme le plus sexy de la planète ; Monsieur Météo, une cuisinière lesbienne (en théorie), etc.
Pendant ce temps-là, le gouvernement britannique fera des pieds et des mains pour mettre fin à l’expansion de ces radios pirates et à Radio Rock puisque la plus écoutée (surement l’équipe la plus barjot aussi cela dit). Ils gênent, ils sont très populaires et malheureusement pas encore illégaux. Le gouvernement déteste quand le peuple prend des libertés. Un ministre, sir Alister, coincé bien comme il faut (c’est plus un manche à balai qu’il a dans le [censuré] celui-là, c’est un poteau) se verra chargé de l’affaire. Tous les moyens sont bons et cela des 2 côtés de la bataille puisque….
Bref, du sexe, du Rock, du Bonheur !
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